Une... tres... belle promenadem(libre)

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C'etais bien la premiere fois que je mettais les pieds dans un tel endroit et pourtant j'en avais vu des meilleurs... Me regard emeraude se promena sur la foret. Assise sur une branche en faisant balancer mes jambes, je regarda vers le sol pour remarquer un etrange cheval blanc avec une corne sur le front. Je renifla l'air et fus surprise, ce cheval possedait une odeur particuliere. Je me tourna vers l'arbre et en me servant de mes griffes je descendis de celui-ci. Rendue en bas, je caressa doucement l'ecorce pour le remercier de m'avoir accueillis et je me dirigea vers la licorne qui regardait dans ma direction. Je m'arreta a quelque metre devant lui pour remarquer qu'il avait l'impression de m'attendre sagement.

Celui-ci ne bougea pas d'un poil et ses yeux, toujours river sur mon corps semblait chercher de l'information alors je lui dis:

-Je me nomme Yanesa et je suis une felis sauf que ma mere etait une elfe, reine en plus.

Celui-ci secoua doucement la tete en prenant son temps pour repondre:

*La fille d'une reine? Sa me rappelle une amie sauf que je en me souvien plus de son nom... Je sens que tu as un peu d'energie d'elle en toi. C'est peut etre toi sa fille.

J'haussa les epaules car je ne savais pas de quoi il parlait mais je fus etonner par la facon dont il m'avais repondue. La licorne avait repondut par telephatie. Etonner je lui demanda:

-Pourquoi communiquez vous par la penser?

*C'est la corne sur notre front qui nous donne notre pouvoir mais nous n'en avons d'autre aussi. Nous communiquons comme sa car il nous sommes des chevaux et comme tu le sais les chevaux sa ne parle pas a haute voix. Ils s'exprime habituelement par hennissement et par mouvement de leur queue, de leur tete et du reste de leurs corps.

-Oh, c'est stupefiant. Puis-je caresser ta te hum... Quel est ton nom?

*Oui bien sur. Je suis Nayata.

J'hocha la tete et m'approcha de lui. Je posa ma main sur son chanfrein et le caressa longuement jusqu'a temps qu'un bruit le fasse sursauter. Nayata se retourna rapidement et avant de disparaitre je l'entendis dire:

*Il y a quelqu'un dans les parages, je ne veux pas risquer de me faire blesser inutliment et de toute facon ej dois rentrer. J'ai ete bien content de faire ta connaissance.

Je ne repondis rien et je e tourna vers l'endroit d'ou venait le bruit:

-Qui est la? Montrez-vous s'il vous plait!

Un jeune homme par cette belle journée, baignée par une hallo de soleil chaleureux, par un tant assez sec, décida d'aller dans cette forêt mythique, cette magnifique forêt. Il entra par le nord, les arbres, grands et impressionnants, se voyaient à quelques kilomètres avant l'étendue verdoyante, qui par une aura verte et sombre ne plaidait guère en sa visite. Peu de personne osait pénétrer dans cette sylve, personne ne savait vraiment, beaucoup avait tenté, mais n'est jamais revenu. Ce labyrinthe végétale, tant redouté par le peuple, mais tant apprécié par Yélos. Cette forêt, ce lieu calme, loin du bruit, des lois et consignes. Yélos marchait, entre les arbres sombres laissant passer la tendre lumière de l'astre du jour entre leurs bras forts et immuables.

Ses pas, calmes et posés, retentissaient, presque sourd, dans le silence des bois. Aujourd'hui, et comme d'habitude, le jeune homme s'était vêtu d'une pantalon noir, de bottes noires, et d'une large veste noire, ouverte au grés des pas et du vent. Son torse marmoréen, découvert, tout comme sa sailante musculature abdominale, contrastait avec le vert des sylves.

Soudain, l'homme mûr, dans le silence régnant, entendit une voix, une voix féminine, assez jeune, elle avait l'air de parler seule... Il n'aimait pas vraiment les contacts, mais était charitable, il voulait juste voir si c'était une personne perdue au cas ou. Il s'approcha furtivement, soudain, tellement intrigué, il ne regarda pas ou il marchait. Le craquement d'une branche sèche déposée sur le sol. Là, il la vit; c'était une adolescente. Ses yeux émeraudes tournés dans la direction de Yélos. Ses cheveux étaient d'un gris pâle, magnifique. Ses oreilles, aux lignes félines et elfiques distinguaient tout de suite sa race. Yélos n'était pas xénophobe, il trouvait ce mélant trés beau. Il était presque plongeait dans la pureté de ces yeux béryls, à un point que ce ne fut que aprés quelques secondes qu'il remarqua un queue à la jeune femme.

Les cheveux hirsutes, comme à l'habitude, il avança vers la jeune femme à sa demande...

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Ce ne fus que le silence qui me repondis et j'en fus quelque peu malheureuse. J'aurais tant aqimer que cette personne me reponde mais je ne dis rien car elle pouvait etre timide ou elle ne voulait pas se montrer. Au moment ou j'allais m'avancer je remarqua un homme au cheveux noir avec un magnifique corps que plusieurs dame ne pourrait resister. Un pantalon noir, des bottes noir et un veste tout aussi noir que le reste completait le physique de l'homme. En l'apercevant j'hocha doucement la tete et me presenta:

-Bonjour, je me nomme Yanesa et vous?

Sentant le poids lourd de mon sac a cause de mes deux oeuf je m'approcha d'un arbre et déposa celui a ses racines. Je retourna a la place ou j'étais, ferma les yeux un instant tout en inspirant profondément et lorsque je les rouvris je lui demanda:

-Ne trouvez-vous pas que cet endroit est fabuleux? On entendant que le bruissement des arbres et le doux chant des autres animaux dans la foret. Je crois que je devrais vivre ici car je ne veux pas retourner en ville... Êtes-vous venue admirer cette foret comme moi?

Je jeta un rapide coup d'oeil vers mon sac mais je me rassura en me disant que les arbres surveillerais les oeufs et qu'ils m'avertirais si il y aurait quelque chose. Rassurer par cette pensse je retourna mon regard vers l'homme et m'approcha un peu plus pres de lui en marchant comme une princesse. C'etais bien la seule chose que j'avais garder lorsque j'avais quitter le royaume des elfes qui avait vu ma naissance. Tout de meme, cela devrait etre etrange. Partir seulement parce que nos parents sont morts et qu'on demande de leurs suceder... Me rendant compte que j'etais partis dans mes penser je m'excusa.

-J'ai failli oublier, je suis une Atsuie et vous?

Yélos fit un pas hors des fougères, il arriva sur un petite étendue verdoyante entourée d'arbres. Ces arbres millénaires, qui grandissent et vieillissent ici depuis si longtemps, mais qui n'ont rien vu des horreur de l'extérieur, témoin d'un passé inlassable et infini. Le jeune homme marmoréen, débout, là, devant la jeune femme, il ne savait pas trop quoi dire, pour lui la parole ne valait pas tous les silences du monde, le silence était l'or même. Le vent pénétrait paisiblement dans la forêt, continuel et libre, soulevant tendrement la veste de Yélos à son passage, de même que ses cheveux d'onyx. Son corps, lui, était impassible, telles les divines et anciennes statues, sauf que celle-ci, d'un blanc d'ivoire aurait été vêtu de vêtements noirs couvrant majorité de son corps, seul son visage marmoréen, sa gorge et son torse reflétaient l'éclat statuaire. Seuls, ses yeux exprimaient un certaine émotion, mais elle était figée comme le corps. Seuls, ses yeux reflétaient d'un éclat or sombre et mystérieux.

Les cheveux de la jeune et jolie femme s'volaient au vent, ces cheveux magnifiques et pâles étaient illuminés et réflétaient les quelques rayons solaires réussissant à traverser la voute végétal dominant les deux inconnus. L'adolescente posa son sac au pied d'un arbre protecteur, Yélos n'en fit pas trop attention. Le vent brisait légérement le silence, mais ce vent, c'était en partie le silence lui même, calme et reposant. Celui-ci fut romput par la tendre voix de la jeune femme, assez frêle. Elle se nommait donc Yanesa. Joli nom. Yélos répondit avec sa voix grave et élégante :

-" Yélos, enchanté."

Puis soudain, la jeune femme débita un long discours, parlant de la beauté de la forêt. Yélos comprit tout de suite, il avait les même sentiment concernant la beauté de la nature. Par sa voix grave, calme, posé et assez séduisante, Yélos répondit laconiquement :

-"Il est vrai que ces lieux sont merveilleux et les admirer ne serait suffisant en une vie."

La jeune femme s'avança un peu vers l'homme, elle détenait une marche compassée et digne. Yélos se demanda si cela était dû à ses deux races confondues; elfe et félis ? Peut-être. Elle sembla partir momentanément dans ses pensées, Yélos attendit en l'admirant; pour lui, c'était un être d'une beauté rare, mi-elfe mi-félis, il en était presque fasciné, mais ne laissait rien parraitre à travers son visage de façade. Soudain elle revint à ses esprits et posa une question en y repondant pour elle d'abord. Une Atsui ?? Cela ne géna pas Yélos, il respectait et toléré tout clan ou race. Mais à cette affirmation, une lueur vermeil vint illuminer ses yeux indolents... Les lèvres s'outrouvrirent un instant our dire ces quelques mots :

-" Je suis né sur ces terres, je suis un Hirano "

Son regard à présent vermeil, il ne controlait pas la couleur de ses yeux, cela changeait selon ses humeurs. Toute sa jeunesse, il a été traité en monstre pour cela. Mais cela importé peu maintenant. Ses pupilles pourpre vif se détachèrent de la sublime Yanesa et fit un tour autour du lieu. Pour enfin se reposer sur Yanesa. Depuis le débout, Yélos n'avait toujours pas fait un geste. Seuls ses lèvres et yeux avaient omi bouger.

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Il se présenta en disant que son nom était Yelos. J'hocha legerement la tete pour dire que j'etais enchanter et je ne dis plus rien jusqu'a temps que celui-ci reponde en disant que les lieux etait merveilleux. Il me repondis qu'il etait nee sur ses terres et qu'il etait un Hirano. J'eus un leger sourire et lui demanda:

-Ne trouvez-vous pas que le silence en rajoute a la beauter de cette foret?

Je me laissais bercer par le doux vent, un sourire de contentement flottant sur mes levres. J'avais toujours adorer sentir le vent dans mes cheveux et aussi glissant sur ma peau.

-Si je serais devenue reine, je suppose que je n'aurais pas eu droit de venir seule. Il aurait fallu que l'on m'escorte. Non, je prefere jouer a la gentille personne qui n'est pas une princesse meme si aujourd'hui sa ne me derange plus.

Cette fois, j'inclina doucement la tete sur le coter et en entendant mon ventre grogner je me rendis compte que je n'avais rien manger depuis le matin. Je me dirigea vers mon sac, posa mes deux genoues au sol et commenca a chercher une pomme. Je vis une corde enrouler dans ma couronne et eclata de rire. La corde entremeler avec ma courrone faisait un jolie dessin d'un animal faisant une grimace. Je la sortis et la demela avec des mains d'experte. Je la rangea peu apres et me pris quelque fruit. Je demanda a Yelos si il en voulait et en attendant je croqua dans un pomme juteuse.

-Toujours aussi delicieuse. Merci les arbres et la terre.

Yélos écouta la jeune femme. Oui. Elle avait raison. La silence est merveilleux en un lui aussi magnifique que celui-ci, mais encore une fois, un silence "naturel", les murmures du vent, les fléchissements des feuilles fragiles, l'écoulement de l'eau dans une rivière. Tout cela étaient dénués d'humanité, c'est cela qui les rendait si agréable, cette absence d'humanité. Aprés ses réfléxions Yélos répondit à la question de Yanesa :

-"Effectivement, ce silence vaut tous les spectacles du monde, même digne de tous rois ou reines."

Yélos écouta de nouveau les paroles de la jeune femme. Etre reine ? Cela voulait dire qu'elle était de sang impérial du sud ? ... Une pulsion vint faire bouillir le sang de Yélos... Mais en prenant un réspiration posé, cela se rétablit rapidement. Là, il avait enfin bouger, la statue de marbre blanc, pour une fois on aurait dit que sa stature avait été obligé de respirer. Puis la jeune femme se retourna pour chercher dans son sac, elle et sa grande chevelure au vent, elle était vétu d'une grande robe fendu dans le dos, cela mis presque en gene Yélos de voir cela. Ses joues mamoréennes rougirent un peu... Il détourna le regard le temps qu'elle se retourne pour lui proposer une pomme, Yélos refusa gentillement d'un geste élégant de la tête.

Yélos se déplaca, un geste lent et gracieux, tel l'assassin qu'il avait été, il s'adossa à un arbre en face de Yanesa; Atsui allié de l'ouest.

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-"Effectivement, ce silence vaut tous les spectacles du monde, même digne de tous rois ou reines."

Je fus etonner par sa phrase mais je ne le montra pas. C'etais le mot rois et reines qui m'avais etonner ou plutot, qui m'avais fais frissonner. Il refusa la nourriture d'un geste de la tete et sans prononcer un seul mot j'hocha la tete en faisant legeremetn bouger mes oreilles de chat. Je le vis se deplacer, avec elegance et lentement. je le regarda aller en le suivant de mes yeux. Celui-ci s'adossa a un arbre face a moi et cela me gena un peu. Aimant particulierement le silence je ne dis rien. On entendait que le son de mes dents croquant dans les merveilleux fruit juteux.

Lorsque j'eus terminer de manger je me pencha a nouveaux sur mon sac et cette fois j'en sortis les deux oeuf. Je les regarda longuement puis, je les deposa sur le sol. A nouveaux je fouilla dans mon sac pour remarquer que totu etait en desordre. J'haussa les epaules et pris l'un des oeufs dans mes bras. Je le regarda longuement sans m'occuper de l'homme amis en rompant le silence je lui dis:

-Ces oeufs provienne de deux espece different. Celui que j'ai presentement est celui d'un phenix mais celui qui est au sol c'est celui d'un dragon. On me les as donner car j'avais gueris leur blessure ou peut etre me l'on t'il donner car elles allaient bientot mourrir. Savez-vous quelque chose sur ses deux espece?

Je m'avanca un peu vers Yelos mais je m'arreta aussitot, le regardant avec un air curieux et sage. Je me demanda:

*Je me demanda ce qui arrive dans les villages aujourd'hui. Sa fais longtemp que je n'y suis pas aller. Peut etre on t'il perdue ma trace.*

Je l'esperais de tout coeur mais dans un autre sens non. Je me demanda aussi quesqui serait arriver si j'aurais accepter d'etre la reine.

Le jeune homme regarda Yanesa manger sa pomme. Un sourire, rare, s'afficha sur son visage de marbre, il avait appercu des petites dents de felis dur la dentition de celle-ci. Yélos ne savait pas vraiment pourquoi il avait sourit à cette simple vue, peut-être juste parce que cet être était tout bonnement magnifique. Puis le sourire de Yélos s'éffaca lentement quand la jeune femme se retourna vers son sac et en sortit deux oeufs. Elles les regarda un petit moment. Yélos aussi. Que pouvez faire ces oeufs en sa possession ? Des oeufs de n'importe quelles especes étaient déjà dur à voir, alors en posséder, cela détenait du miracle ou de la chance. Yélos avait les yeux rivés sur ces oeufs, l'un était d'un pourpre sombre, l'autre plutot noir. Quand Yanesa évoqua un oeuf de phoenix et un de dragon, cela ébranla le mental de Yélos. ¤Un oeuf de Phoenix ??¤ Yélos n'avait jamais vu de phoenix, cette espèce était trés rare, il avait déjà entendu de nombreuses légende à ce propos du temps du roi Umdrad.
Se décollant de l'arbre, Yélos s'approcha un peu de la jeune femme, les yeux dirigeaient sur l'oeuf de phoenix, puis il dit :

-"Le phoenix; c'est un oiseau extrement rare, je n'en ai jamais vu, mais a ce qu'on raconte, ce serait un magnifique oiseau igné, aux nombreux pouvoirs, tels que la réincarnation de la cendre..."

Yélos s'intérromput, cet oiseau, il avait toujours vu en voir, il l'avait chercher durant tant de temps en vain. Cet oiseau, c'était l'incarnation de son don sur terre, c'était l'incarnation de la déesse. C'était SON pouvoir. Puis Yélos continua de parler sur l'autre oeuf, qui à ses yeux avait beaucoup moins de valeur :

-" Le dragon; une espece commune, il y en a de nombreux à Mystéria, maintenant reste à savoir de quel tye de dragon s'agit-il, un dragon de feu, un dragon de glace, il y en a de nombreux..."

Yélos était fasciné par l'oeuf de phoenix mais essaya de cacher sa fascination à Yanesa, essayant de rester indifférent. Ils étaient tous les deux, debout. Le vent souflait encore, le bruit des branches fléchissant sous le vent remplissa les lieux quelques instants, le soleil était dominait par un nuage qui passait.

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Je remarqua son sourire et je me dis qu'il etais plus mignion lorsqu'il sourait et c'etais le cas. Lorsque je lui demanda a propos des deux oeuf Yelos dit que le phenix etait extremmement rare et j'en fus surprise. C'est vraie que lorsque j'avais sauver la mere du phenix que je tenais maintenant dans mes mains, je n'avais vu qu'elle et protegait avec ferociter son nid. Elle etait seule en plus. Je secoua doucement la tete. Maintenant, il parlait des dragons. J'hocha legerement la tete lorsqu'il eu terminer de parler.
Je regarda longuement mes deux oeuf, sans rien dire.

Je laissa les paroles de Yelos s'impregner dans ma tete comme si c'etais une lecon d'artisanat ou encore des paroles d'une douce chanson. Un leger sourire flottant sur mes levres, je regarda encore quelque minute l'oeuf qui contenait le phenix en me disant que j'avais de la chance. Je garda le silence pendant encore quelque minute jusqu'a ce que je dise:

-C'est un cadeau du phenix car je l'ai sauver en la soignant. Elle etait blesser, surement parce qu'elle protegeait son nid. En tout cas, ils sont magnifiques! j'ai ete impressionner. Leurs regard remplie de confiance, leur ailes battant avec delicatesse l'air comme si ils craignait que leur feu s'eteignent. Il est bien dommage que ni ma mere ni mon pere ne m'en ai appris a ce sujet et de toute facon, ma mere n'aurait pas pus me l'apprendre... Mon pere lui? Je ne sais meme pas si il est encore en vie mais je sais que mon pere, si il est encore en vie doit...

Je detourna la tete un instant, j'avala de traver et en retenant de mon mieu les larmes je murmura tout de meme asser fort pour que le vent l'emene au oreilles de Yelos:

-Pleurer la mort de ma mere...

Je baissa les yeux, me retenant de pleurer car c'est ce que ma mere m'avais appris sauf que les larmes coulere. Les cheveux me cachant le visage, je me laissa descendre le long de l'arbre. Quelque larme coulere sur les oeufs et ceux-ci s'agiterent legerement mais leurs coquille resterent intacte. Les yeux diriger vers mes pieds dont mes orteilles se terminait par de petite griffes. Je n'osais plus regarder Yelos en face car je n'avais pas envie qu'il voit ma peine. Je tremblais legerement. J'aurais jamais du y penser. Je me le reprocha en silence et apres un certain temps je ferma les yeux sauf que les larmes coulait toujours. Mes oreilles etaient rabattues vers l'arriere.

Yélos était assez étonné, quand il avait parlé, il lui avait semblé que la jeune femme buvait ses paroles. Cependant quand Yanesa raconta ce qu'il s'était passé avec le phoenix, Yélos fit pareil, comme pour le vivre au même instant. Mais aprés la douce jeune femme commenca à parler de ses parents; Yélos vit le beau visage de Yanesa se pâlir puis rougir sous les legeres gouttes qui ruisselaient de ses yeux fins et magnifiques. Yélos fut surpris de cette réaction soudaine qui lui aussi le rendit triste de la peine qu'éprouvé Yanesa. Il voulut la réconforter, ne sachant que faire, il était trés peu sociable. Cependant, il s'approcha lentement de la félis, accroupi devant elle. D'un geste ample de la main, il repoussa lentement les soyeux cheveux de Yanesa qui voilaient son doux visage et les lui mit derrière son oreille pointu. Puis il posa le dos de sa mains chaleureuse sur les joues trempées et froides de Yanesa, comme pour sécher ses larmes de tristesse. Yélos ne savait toujours pas comment faire, quoi dire, cette situation ne lui était jamais arrivée. Cependant, il voulut essayer, quoique maladroit. Ses mains blanches, chaudes, marmoréennes, douces et réconfortantes étaient toujours sur les joues de Yanesa. Il ne savait que faire de plus, il avait déjà vu des mères réconforter leurs enfants et les serrant dans leurs bras, mais cela, ca aurait été presque impossible pour Yélos, sa jeunesse n'a jamais été empreint de quelconques contacts humains. Cependant il aurait aimer aider cette nouvelle amie et alliée qu'il appréciait. D'ailleurs il était assez géné d'avoir pris cete initiative car il ne savait même pas sur Yanesa aurait voulu du réconfort dans ses pleures...

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[Ce n'ai rien, j'attendrai patiemment que vous ayez terminer]

Achevé.
Ps: Vous pouvez me tutoyer ^^

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[Je ne sais pas, j'aime bien vouvoyer des fois. Je me deciderai peut etre plus tard mais vous tutoyez mois vous le voulez.]

Quelque chose repoussa mes cheveux derriere mes oreilles et je leva legerement mon regard. Par la suite il deposa le dos de sa main sur ma joue et je fus un peu etonne mais trop triste on ne pouvait vori que mes yeux triste. Comme il restait comme sa je devina qu'il ne savais pas trop quoi faire a part montrer qu'il voulait bien m'aider. Je detourna legerement ma tete. Ne sachant quoi dire je le regarda dans ses yeux en pensant:

*J'aurais aimer que mes parents ne meurt pas. J'aurais aimer que le phenix et le dragon soit la pour me reconforter. Je sais, pleurer ce n'ai pas digne d'une princesse...*

Je resta les yeux fixes sur lui pendant un long moment ry je me rendis compte qu'il semblait genee. Je posa une main rassurante sur son epaule en lui offrant un petit sourire qui disparut presque aussitot. J'hocha legerement la tete, l'air perdue et je declara finalement:

-Je dois arreter de pleurer, apres tout je ne veux pas montrer ma faiblesse au autre et aussi parce qu'elle me l'a dis. Je me sens si seule sans eux. J'aurais aimer avoir leur douce parole, leur bras reconfortant et leur compliment.

Sans m'en rendre compte je l'avais pris dans mes bras et cacher mon visage tremper de larme dans son cou. Je recula un peu, genee:

-Desoler, c'est un reflexe. Lorsque je suis triste je faisait toujours cela a mes parents.

Les yeux de la jeune félis et de Yélos se croisèrent un long moment. Le roi admirait les prunelles émeraudes de la jeune femme, elles étaient si belles, si uniques. Elles refletaient la nature, la beauté. Yélos aurait pu rester des heures ainsi à contempler ces yeux délicats, mais Yanesa passa une main sur son épaule. Il fut gratifer d'un leger sourire qui illumina un petit instant ce doux visage juvénile. Yélos écouta les paroles nostalgiques de la jeune femme, soudain, elle était, la tête plongeait dans le cou du roi, blottie contre son torse marmoréen. Cela géna un peu Yélos au début, mais au moins n'aura pas eu besoin à penser plus loin à sa derniere réfléction. Cependant Yanesa avait fait cela dans un reflex comme avec ses parents et elle se détacha vite de Yélos. Mais n'en voulait pas à Yanesa, il lui dit avec une voix réconfortante et avec un sourire qui illumina son visage d'habitude morose :

-Ne soyez pas désolé, ce n'est pas grave.

Yélos ne voulait pas reparler des parents de Yanesa de peur qu'elle ne replonge dans cette peine remanente. Il était toujours accroupi face à Yanesa, contre l'arbre.

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Moi et Yelos on s'etais contempler, yeux dans les yeux. J'aurais pu rester la, tres longtemps. Apres, lorsque je m'etais excuser d'avoir ete dans ses bras Yelos m'assura que ce n'etais rien et en guise de reponse j'hocha doucement la tete. Je passa le dos de ma main sur mes joues pour essauyer les larmes restantes. Je dirigea mon regard vers l'oeuf du phenix et le pris avec precaution. Je le regarda et dis silencieusement a mes oeuf de naitre rapidement. J'avais hate de savoir a quoi ils ressemblaient. J'admira longuement l'oeuf et je me rendis compte que je voulais en savoir plus sauf que je ne savais pas si je devais le lui demander en parlant ou silencieusement.

J'y pensant pendant plusieurs seconde mais j'opta pour demander silencieusement. Je pencha la tete sur le coter, regarda l'oeuf a peine quelque instant et je tourna mon regard insitant sur Yelos. C'etais ma facon silencieuse de dire que je ne comprenais pas et ou que je voulais en savoir plus. Mon regard redevint normal apres quelque instant. Je tentais d'avoir des informations en decodant ses yeux mais je ne vis rien a moin que je ne sois pas si bonne observatrice. Je voulu detacher mon regard du sien mais ceux-ci refuserent de bouger. J'admirais tranquillement ses prunelles sans rien dire. Depuis le debut la couleur de ses yeux avait changer et ceka m'intriguait.

Je savais que ce n'etais pas pour sa que je le regardais dans les yeux mais je ne savais pas pourquoi. Je le trouvais beaucoup plus beau lorsque je le regardais dans les yeux et a cette pensser je souris doucement. C'est vraie, il etait plus beau lorsqu'on le regardait dans les yeux. Certains aurait dit le crontraire mais moi, j'etais sur que c'etais cela. Beaucoup se fiait au regard et non a l'ame. Ce n'ai que lorsque quelqu'un regarde le vraie vous que l'on sait que cette personne est vraiment speciale. Je n'avais pas vraiment besoin de parler pour exprimer mes emotions et seul les personnes qui le save peuvent comprendre. Je sentais d'etrange emotions apparaitre en moi et cela me bouleversa un peu.

Je prenais plaisirs a le regarder et je commencais a me demander si j'etais amoureuse de lui. Non, je ne le croyais pas. Je le connaissais a peine alors c'est sure que ce n'etais pas de l'amour a moin que... Ma mere m'avais parler des coups de foudre mais je n'y croyais pas. Elle m'avais dit qu'en voyant mon pere elle avait eu envie de dire un poeme... C'etais exactement le cas pour moi. Je me convainqui que c'etais parce que je n'avais pas vu quelqu'un pendant longtemps et c'etais le cas. Grace a cela j'avais pus me rapprocher d'avantage de la nature, je comprenais les animaux car mon passe temps preferer etait les regarder agir, faire des poemes mais aussi creer, avec des fils, de magnifique dessin ou des vetements.

Je pencha la tete sur le coter mais la redressa aussitot, les oreilles leregement rabattues mais pas asser pour exprimer un sentiment.

-Chant des vents
Soleil brillant
Lune d'or
Fil doree

Dit moi pourquoi tu m'a conduite ici
Loin des villes, les des gens
Le souffle des dieux
Pourquoi m'avoir conduite ici?

Avec le vent, avec la terre
Le ciel joue avec moi
Comme un chat joue avec la souris
Toi, vent, tu joue avec moi

Pour m'emener
Au coeur de la foret et des lacs
Combles je suis
D'avoir rencontrer un bel homme

Cet homme, au beau regard
Ce regard qui ne cesse de m'intriguer
Pourquoi m'avoir conduite ici?
Loin d'un peuple

J'ai refuse
Refuse de gouverner
Refuse de refaire ma vie
J'ai refuse ce que tu m'a offert

Je desirais une seconde chance
Voila que je l'ai
Voila que mon coeur est combles
Mon desir n'est pas

Je rencontre un homme alors que j'observe
J'observe mon coeur et ma raison
Je note et je flotte
Je cherche

Je ne desire pas rencontrer
L'homme de ma vie
Ne pas le rencontrer tout de suite
Mais cet homme

Si beau il est
Lorsque je le regarde
Dans les yeux je vois
Une etrange lueur doree

Je me rendis compte que je l'avais dis a voix basse mais comme Yelos etait proche il avait pu tout entendre. Me rendant compte de mon erreur je rougis. Je voulais detourner mon regard mais comme je l'avais dis dans mon poeme je voyais une etrange lueur doree et cela m'atirais. Je resta de longue minute silencieuse mais je lacha apres ces longue minute:

-Desoler, j'adore faire des poemes mais lorsque je parle, parfois je ne m'arrete plus et je dis ce que je pense reellement.

J'hocha doucement la tete. Sans regarder l'oeuf, je le deposa sur le sol tout pres de mon sac. Je le colla contre l'oeuf de mon dragon qui etait toujours immobile. Je deposa ma main sur son epaule en lui offrant mon sourire. Si il aurait eu un sourire, je ne l'aurais pas remarquer car mes yeux etait figee sur les siens comme l'etendue d'eau qui ne bouge pas d'un pouce. Tout comme lui, au debut,je ressemblait a une statue sauf que je souriais et doucement en plus. Peut etre etai-ce le fais que je n'avais pas vu de personne durant quelque annees. Cela m'avais inciter a me rapprocher d'avantage de la nature et des animaux.

Les contacts humain m'avais beaucoup manquer et c'etais peut etre pourquoi je parlais comme sa. Je savais qu'ils avaient choisis une autre personne pour gouverner le royaumes des elfes mais je me fichais de qui s'etais. Tout ce que je savais c'etais que cet homme, Yelos etait devant moi et que ces yeux m'atirais comme quand on lance un lacet a un chat et que celui-ci joue avec.

Yélos était toujours plongé dans les yeux de cette jeune femme, des yeux d'un vert soutenu, un vert choquant, presque fluorescent, à un tel point que Yélos était sûr qu'ils brilleraient dans les nuits les plus sombres. Deux pierres précieuses réfléchissant toutes lumières, aussi pâle qu'elles auraient pu être, les réfléchissant une beauté insoutenable. Telle était la vision et les pensées de Yélos à travers ces magnifiques yeux émeraudes, dont les pupilles resplendissaient de naturel et pourtant étaient hors du commun. Puis sans avoir remarquer les gestes de Yanesa toujours plongé dans ses yeux aigue-marin, Yélos ne put voir que vous le changement de tempérament de ces prunelles vertes, elles avaient adopté une mimique d'interrogation, de questions inlassables. Yélos aurait voulu y répondre, mais il ne saisisait même pas le sujet de l'interrogation en question. Le regard de Yanesa changea rapidement, Yélos n'eut pas le temps de comprendre l'interrogation qui lui tarauder encore l'âme.

Yélos savait qu'il avait une vision des choses autre que les autres humains. Lui, ne voyait pas les choses comme elles étaient, il allait chercher plus loin. Pour la nature, dans toute sa diversité, mer, plaine, volcan. Il n'allait pas se contenter de l'admirer telle qu'elle était, même si il était empreint de cela, il allait se poser des questions, qui peuvent aller d'un rien à un tout. Par contre pour les êtres vivants, bien qu'il était fasciné par un tout aussi, pour lui, le centre d'interêt était les yeux «miroir de l'âme», tout se reflétaient dans les prunelles. Voilà ce que pensait Yélos. Par contre les pupilles émeraudes de Yanesa laissaient et nourrissaient en une exitation et fascination qu'il n'avait que rarement connu.

C'était à ces moments la que ses yeux étaient le moins stable. Ces yeux ne changait rien à sa vue, ni rien à ses pouvoirs, ils laissaient libre court à ses émotions ou sentiments. C'était presque aléatoire, les couleurs n'étaient pas déterminantes, elles pouvaient tout dire, cependant elles étaient toujours empreintes d'émotion. En ce moment même, ses prunelles étaient habillées d'une couleur or un peu foncée, comme la couleur caramel refroidi, d'un jaune pétillant, presque comme au couché du soleil sur un merveilleux fond rouge.

Tout d'un coup, Yélos vit la douce tête de Yanesa vaciller et se remettre droite. Elle recita un poême aux vers libres, sans rimes, la forme était dénuée. Cependant le font était tellement doux et explicite qu'on en oublia vite la forme. Les vers vacillaient à des vers sur un ville, sur la nature, et sur lui-même. Quand la jeune femme récitait les vers le concernant, Yélos était presque un peu géné, comme une statue de marbre ébranlait par un vent insistant.

Le jeune homme était toujours accroupi, le visage à une cinquentaine de centimètre de celui de Yanesa, il écouta la moindre de ses versifications. Les vers concernant ses yeux fit apparaitre un leger sourire sur son visage pâle, car Yélos savait pertinement que ses pupilles étaient loin d'être normales, mais personne ne lui avait jamais dit, il ne savait pas pourquoi. Peut-être car c'était le roi, il n'allait pas chercher plus loin. Mais en ayant entendu ces belles paroles, les yeux de Yélos avaient encore changé, il ne savait pas pourquoi, il ne s'en était même pas rendu compte, cette fois ils étaient empreints d'une couleur or pure, comme la couleur caramel trés chaud, d'un jaune pâle, presque comme au levé du soleil par un temps sans nuage, vide, et d'un ciel bercé d'un merveilleux fond azuréen.

Un sourire en coin de satisfation empreint le visage blanc de Yélos quand Yanesa s'excusa encore.

- Ne vous excusez pas le moins du monde, murmura-il en un souffle de sa voix posé et calme, ce fut un plaisir d'entendre un tel poême.

Puis la jeune et belle félis posa une main sur l'épaule de Yélos, son épaule saillante et couverte par une veste noire dont son torse d'une pâleur marmoréenne contrasté énormément. Il remarqua rapidement que Yanesa était plongée dans ses yeux, jusque là, il ne l'avait pas remarquer tellement il était fasciné par le regard félin de la jeune femme. Mais il lut dans les yeux de Yanesa comme un attirance, une fascination tel un chat aurait voulu jouer avec une souris ou un quelconque objet attirant pour un félin ou tout autre animal.

Yanesa était assise contre un grand arbre dont les branches virevoltaient à chaque fantasie du vent. Yélos, accroupi devant elle, était tel une statue, il ne bougeait pas, immobile, inlassable et immuable. Le craquement des feuilles emplissait le lieu de sylves, comme si il était vide, comme si les équidés avaient disparut, comme si, seuls, Yélos et Yanesa étaient présents.

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En sentant le doux souffle du vent caresser avec douceur mon corps je frissona legerement. Je savourais chaque moment de silence et surtout de regarder dans les yeux du bel inconnue. Un leger sourire flottant sur mes levres je ne pouvais m'enpecher d'admirer ses douces prunelles aux couleur changeante. Le visage de Yelos a une cinquantaine de centimetre proche de mon visage avec des yeux magnifique qui changeait de couleur selon ses emotions.Toujours en regardant dans ses yeux si attirant j'ecouta le vent balayer avec douceur la foret comme si elle caressait les feuilles, les branches et les etres qui y vivait.

Le vent semblait demander le calme et la paix alors que je sentais en moi l'excitation. L'excitation de voir un etre interesser par moi pour ce que j'etais et non pour ce que je ressemblait et si j'etais noble ou non. A cette pensser mon sourire s'agrandit. Avant on ne s'occupait de moi que parce que j'etais une princesse et aujourd'hui, libre comme l'air, je vivais sans regles et personne ne s'occupait de moi comme si j'etais la personne la plus importante au monde. Maintenant, je me tenais la, devant cet homme, en train de le regarder dans les yeux. J'etais si concentrer a regarder ses yeux que je n'entendis presque pas ce qu'il avait di sauf lorsqu'il m'avais dit que ca avait ete un plaisir.

Mon sourire s'aggrandit et j'eus l'impression que tout avait disparue autour de nous. Je ne ressentais ni vent, ni bruissement des arbres ni autre bruit prevenant de la foret. La seule chose que je sentais etait le souffle chaud de Yelos. J'avais presque oublier mon existence trop occuper a admirer la seule chose qui avait de la valeur pour moi et qui refletais tout. Ses yeux. Aussi beau et doux que la nuit, le couleur doree en rajouta au charme et au mystere de ses prunelles. Un sentiment etrange m'envahit mais je savais que ce n'etais qu'une connection sauf qu'elle etait plus forte qu'avec les arbres lorsque je me connectais avec eux. Mon sourire normal devint un sourire plus doux, plus fin, ils montraient que j'etais heureuse tout comme mes yeux d'ailleurs.

Mon corps ne bougeait pas, on aurait dit que je faisais partie de quelque chose ou de quelqu'un. Mais de quoi? J'aurais pus dire que c'etais un plaisir de regarder dans ses yeux mais aucun ne sortis et je ne bougea pas d'un poil. Tout ce que je faisais c'etais de battre de temps a autre des paupieres. Ma tete, elle, restait bien droite, mes yeux, toujours perdues dans ceux de Yelos et le sourire sur mes levres ne s'effacais pas. Je n'avais pas du tout envie de parler, je preferais le silence au parole et de toute facon parler ne m'aurais servis a rien. Je n'avais qu'a regarder dans les yeux de Yelos pour comprendre certaine chose. A nouveaux, un frisson traversa mon corps mais je ne m'en preocupa pas. J'etais sur d'une chose en tout cas.

J'aurais hate de le voir pour pouvoir recreer ce lien magique et regarder longuement dans ses yeux pour tenter de decouvrir de nouveaux mystere. A voix basse, comme un murmure je pronnonca son nom et j'eus l'impression que son nom resonnais a l'interieur de ma tete. Peut de temps apres je dis que c'etais un jolie nom. Pourquoi es-ce que je ne le disais que maintenant? Pourquoi es-ce que j'avais prononcer son nom sans vraiment y penser. Plein de question apparure dans ma tete mais je les fis taire. Pour ne pas qu'il prononce un mot je posa un doigt sur ses levres. Je voulais absolument profiter de ce silence pour mieux etudier ses yeux dont je me perdais si facilement.

Ses yeux, normal comme tout mais pourtant si etrange et si grand a l'interieur me donnais presque envie de caresser sa peau blanche pour voir si elle etait aussi douce que la mienne mais je ne le fis pas. Je baissa lentement la main et l'approcha de celle de l'homme. Je voulu lui prendre la main mais n'osa pas. Qu'allait t'il dire si je la prenais? Allait dire disparaitre ou allait t'il prendre ma main pour sentir le doux contact de ma peau sur la sienne? Au moment ou j'avais deposer mon doigt sur ses levres j'avais trouver le contact doux.

Le temps passait lentement, inlassablement et à la fois rapidement. Ce temps, un temps inexorable, contre lequel on ne peut lutter. Yélos aurait voulu pourtant. Il aurait voulu vaincre, le passé, le présent, l'avenir, des siècles et millénaires. Juste pour rester ainsi, Il ne savait pas pourquoi. Rester, juste rester... Dans ces bois clairs, avec cette jeune femme qu'il connaissait à peine, il connaissait juste ses yeux émeraude.
Le vent soufflait encore tendrement dans la sylve mythique, balayant branches et feuilles. Les cheveux bleus pâles de Yélos vinrent presser ses joues quelques instants sous la ténacité de l'être naturel que sont les bourrasques de vent. Les yeux de Yélos ne fléchirent pas, admirant toujours les yeux de Yanesa qu'il connaissait à présent par cœur, il aurait pu les reconnaître en n'importe lesquelles. A présent, Yélos se demandait ce que faisait Yanesa ici, seule, d'après les paroles qu'elle avait prononcés, elle serait princesse... Peut-être, Yélos s'en moquait, pour lui aucun rang social ne lui plait plus que d'autre, c'est la personne qui compte et non son rang.
Attentif, Yélos vit le petit sourire de la jeune félis se fendre en grand et majestueux sourire. Il se demandait pourquoi elle était aussi absorbée dans ses yeux dont il avait oublié la couleur originelle, il a toujours pensé que c'était peut-être le rouge foncé, voir le noir, tant qu'à avoir des yeux hors du commun, pourquoi pas une couleur originel hors du commun ? Son sourire montrait une gaieté certaine chez la jeune femme, Yélos se demandait bien pourquoi, mais il se dit que c'était mieux que la tristesse précédente et cela le contentait.
Le vent continuait à souffler paisiblement, seul. Yélos n'avait pas froid, il n'avait jamais froid, son don le lui permettait aisément et le lui ressentait jamais. Quand il faisait froid, sa peau dégageait une aura chaleureuse, chaude.
Le temps passait encore, inlassable, le soleil tombait lentement dans la soirée. Yélos voyait Yanesa frissonner de temps en temps, il ne savait pas si c'était dû au froid ou autre... En tout cas il ne savait pas quoi faire, il serait bien rester ici à contempler les merveilleuses prunelles de Yanesa, mais il doutait qu'elle ne puisse subir le froid, bien qu'il soit à assez prés d'elle pour qu'elle puisse sentir la chaleur sereine que dégageait Yélos. Soudain la félis prononça le prénom du jeune homme en disant que c'était un joli prénom. Mais elle posa un doigt sur les lèvres de Yélos avant qu'il ne put dire quelque chose. Elle avait toujours son autre main sur l'épaule de Yélos. Le doigt de Yanesa sur les lèvres de Yélos lui produisit une drôle de sensation, douceur et quiétude, mais son contact, doux et paisible. Yélos ne dit rien se laissant faire, même sans connaitre Yanesa, il avait une certaine confiance en elle.
Quoique la position dans laquelle ils étaient géné un peu Yélos, mais son regard ne trahissait rien.

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-Vos yeux chercherait une veriter inconnue, tout comme elle chercherait des reponses dans l'etre devant vous. Vous ne penserez a rien d'autre, pas meme au froid qui s'installe.

Cette penser, venant d'une servente que je considerais comme ma seconde mere me revins en esprit. Elle avait raison sur presque tout car je cherchais des reponses a l'interieur des yeux de Yelos mais c'etais parce que je voulais le connaitre et en plus, la nuit qui allait apparaitre dans une heure ou deux me donnait envie de sortir ma cape sauf que je me rendis compte que je n'en avais pas qui me protegeais contre la morsure du froid. Je me promis d'en faire une plus tard. J'enleva ma main de sur son epaule qui, degageait une chaleur qui me faisais du bien.

Mes yeux, toujours plantes dans ceux de Yelos cherchait toujours des reponses mais, connaissant ses yeux par coeur je ne voyais rien a moin que je ne cherchais pas asser ou que je cherchais trop. Je me souviens d'un conseil de la servante qui disait de ne jamais chercher les reponses, il fallait plutot les attendres et elle avait raison. Je tendis mes mains vers mes cheveux qui etaient derriere mes oreilles et je les mis devants pour avoir un peu de chaleur meme si je savais que cela ne m'apporterais pas grand chose. Voyant que la nuit allait bientot tomber, je detacha a regret mes yeux de ceux de Yelos et me leva doucement.

-Nous devrions y aller, les nuits son fraiches ici surtout la nuits... Par contre, je n'ai pas d'endroit ou dormir. Habituellement je dors dans les arbres ou je me debrouille pour faire un abris... Voulez-vous m'accueillir dans votre demeure?

Mon sourire, toujours sur mes levres changeant legerement. Je m'agenouilla pour mettre mes deux oeufs a l'abri dans mon sac ou je les recouvris de ma cape que j'utilisais lorsqu'il faisait trop chaud. Je mis mon sac sur mon epaule en penchant legerement la tete en signe d'interrogation. J'etais sur qu'il allait accepter car des le debut il avait ete si gentil et comparer a ceux que j'avais connus a part mes parents et la servante que je considerais comme ma deuxieme mere, m'avais traiter differemment et c'etais une des raisons pourquoi j'etais partis. J'avais envie de connaitre la liberter et j'aimais cela. J'aurais pu y restais mais je commencais a me rendre compte que la compagnie d'etre vivant, autre que les animaux commencait a me manquer.

-Je suis enchanter d'avoir rencontrer un homme tel que vous. Sa m'a fais tellement de bien. Cela fais trois ans que j'ai vecue dans la nature, loin des gens, loin des villes. Grace a cela j'ai beaucoup decouvert et j'ai un lien puissant avec la nature mais je me rends comtpe que la presence humaine fais du bien et je regrette de ne pas m'en avoir apercus avant.

J'eus un petit rire. Je riais de toutes les fois ou j'avais fais de petite gaffe dans la foret mais revenant a la realiter je plongea ma main dans mon sac et en sortis une attache qui ressemblait davantage a un bracelet qu'a une attache. J'attacha mes cheveux en me disant que je devrais aller plus souvent en foret pour rencontrer ce genre de personne et je ris silencieusement. Quoi de plus qu'une belle journee ou l'on rencontre une personne avec de magnifique yeux et une personnaliter plutot, solitaire. Mon sourire s'effaca lentement. J'etais toujours de bonne humeur mais c'etais le froid qui commencais a me faire trembler.

Le jour commencerait à décliner lentement dans quelques heures pour laisser place à la nuit froide et solitaire de l'ouest. Yélos regardait encore les yeux de Yanesa qui n'avaient déjà plus de secret pour lui. Le froid se levait. Sa morsure continue pénétrait par salves dans la forêt dont les couleurs s'étaient ternis paisiblement. Yélos n'avait pas froid, comme toujours, son pouvoir était utile pour cela.
Yélos vit la jeune félis délaisser ses beaux cheveux devant ses yeux et son visage fin. Celle-ci demanda le gite à Yélos. Cela lui refit penser immédiatement que sa demeure. Sa demeure royale, il pensa que sa demeure ramenerait beaucoup de souvenirs à Yanesa, car il avait compris qu'elle avait grandit dans une atmosphere royale. Même si le chateau de Yélos était immense, serti de bleu et blanc, passant au noir. Yélos ne savait pas encore si Yanesa avait découvert son rang au placé dans la société.

- Biensur, ma demeure n'est pas trés éloignée, dit-il en se pincant les lèvres.

Yélos n'aimait pas rester à son chateau, il était solitaire. La compagnie de ses courtisans ferru d'argent l'exaspérait. C'est pourquoi il sortait souvent sans prévenir personne.

- Le plaisir est partagé dit Yélos.

Il se releva, emportant la chaleur qu'il dégageait avec lui. La jeune félis s'attacha ses longs cheveux soyeux. Debout, Yélos regarda les yeux emeraude de Yanesa.

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Il dit que sa demeure n'etais pas bien loin et j'hocha la tete:

-Marcher ne me derange pas.

Je n'avais pas remarquer Yelos s'etais pincer les levres et de toute facon je preferais regardwer les yeux des personnes et meme des animaux. Il me dis que le plaisir etait paratager et cela aggrandit mon sourire. Je resta planter la pendant quelque minute encore, a regarder les yeux de Yelos et sentant la chaleur degages par son corps mais apres quelque minute je me deplaca et vins a coter de Yelos:

-C'est quand vous voulez a part si vous preferez que nous restions encore sur place a nous regarder yeux dans les yeux. Malheureusement, je crois que nous n'aurons pas le temps de voir le soleil qui se couche. Habituellement je grimpe a l'arbre et je le regarde. Es-ce que sa vous tente de la voir? Je vous aiderai a monter dans l'arbre ce qui sera tres facile pour moi.

Je jeta un coup d'oeil a la foret. Cette magnifique foret qui m'avais accueillis, qui m'avais permis de faire des rencontres et maintenant je partais dormir chez quelqu'un mais je savais que je reviendrais a moin qu'il se passe quelque chose. Comme nous sommes dans des royaumes et bien il finnissait toujours pas avoir la guerre ou des choses comme sa. La mort... Cela me fis pensera mes parents mais je retins mes larmes. Je leva mes yeux au ciel et sus qu'ils etaient dans un monde meilleur. Ma mere m'avais racontes que ceux qui avait un coeur pur pouvait aller au paradis et j'etais sur que c'etais vraie.

Mon sourire joyux fis place a un sourire triste mais celui-ci disparut rapidement. J'hocha doucement la tete et reporta mon attention sur Yelos.

Sujet: Re: Une... tres... belle promenadem(libre) Sam 7 Mar 2009 - 12:33

Le vent soufflait, le ciel était vierge, sans nuage.
Rentrer à son palais royal était pour Yélos comme un emprisonnement à un certain terme, même s il avait tous les pouvoirs dans le château, il devait suivre des regles et tout le monde le suivait, veillant à son bien être. Mais Yélos savait débrouiller tout seul, il en avait un peu marre de tous ces gens qui le suivaient dans le palais. Même si il leur avait déjà dis de nombreuses fois, ils n'arrêtaient pas.
Quand Yanesa propasa de regarder le soleil se coucher, une lueur de retardement de et gaieté vint éclairer les yeux de Yélos. Il sourit.
Il s'approcha de Yanesa et lui tendit la main.

- Venez, je connais un coin pas mal pour regarder le coucher de soleil. Puis... Je ne suis peut-être pas un félis, mais j'ai quelque ressource pour montrer aux arbres ou autres dit-il avec un air taquin et gentil sur les levres et dans les yeux.

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Yanesa attendait patiemment avec, sur le coin des levres un sourire. Yanesa avait en tete que les humains avait beau etre parfois cruelle et sans cervelle mais certains pouvait ce montrer gentil et c'etais le cas avec Zelos.Toujours avec le meme sourire bien que legerement mysterieux celle-ci prit la main que lui tendait Yelos et en entendant les paroles de l'homme son sourire changea.

-C'est comme vous voulez. Je vous suis et si vous avez besoin d'aide je peux vous aidez.

La demie elfe pencha la tete sur le coter en lui offrant son sourire le plus aimable mais il s'effaca pour revenir aec le meme sourire mysterieux de tout a l'heure. A nouveaux, l'air frais la fit frissoner mais etant quelque peu habituer cela ne la gena pas trop meme si dans le fond elle avait envie d'aller dans un endroit chaud. L'hybride secoua la tete, regarda le ciel et remarqua qu'il n'y avait pas de nuages.

*Au moin on va bien voir le coucher de soleil. *

Sujet: Re: Une... tres... belle promenadem(libre) Dim 22 Mar 2009 - 13:17

Yélos prit la main douce de la jeune demi elfe, elle avait un sourire indéchiffrable sur le bout des lèvres, mystérieux.
Yélos avança devant, tirant tendrement sa nouvelle amie par la main. Il essayait encore de déchiffrer ce sourire, en vain. Ils marchaient entre les troncs gracieux, le vent n'était pas au rendez-vous ce soir, les nuages solitaires non plus. Seul un ton rosé et jaunet régnait dans le ciel, signe que le crépuscule était proche.

- Ok dit-il avec large sourire vers son amie en voulant effaçer ce sourire mystérieux qu'il n'arrivait pas à déchiffrer.

Peut-être n'y avait-il pas de vent, mais il faisait assez froid. Yélos sentit la main de Yanesa frissonner. Il s'arrêta net, attendant que son amie le rejoigne, il hésita un instant, mais il mit son bras par dessus les épaules de la Félis. Et il fit agir son pouvoir igné, une aura chaleureuse irradiait de son corps. Il ne savait pas vraiment si cela plaisait à Yanesa, mais il préférait qu'elle n'ait pas froid, plutot que d'attrapper froid. Ils continuèrent à avançer à travers la sylve.

Puis ils arrivèrent face à une cascade, l'eau était sombre, le soleil était de l'autre coté de la cime. L'onde tombait lentement et sereinement dans l'ombre. Yélos s'approcha de la roche fraiche à coté des jets d'eau.

- Nous sommes presque arrivés dit-il en montrant le haut de la cascade d'un signe de la tête, et un sourire sur les lèvres.

On voyait des rayons du crépuscule dépassait la cime rocheuse, des rayons magnifiques, d'un rose pâle et jaune. Yélos mit une main sur la parroi rocheuse, et attendit le consentement de son amie...

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Lorsque Yelos prit la main de Yanesa son sourire indechriffrable se transforma pour devenir un sourire encore plus etrange. Ce sourire si etrange etait une particulariter que seul sa famille possedait. Ce sourire voulait dire qu'elle avait envie de cacher ses sentiments mais aussi de ne pas montrer sa joie de revenir dans la civilisation. Il y avait autre chose aussi et cela voulait dire qu'elle etait quelque peu inquiete. Etant habituer en vivre en foret elle se demandait comment sa allait se passer avec les autres surtout si elle etait differente. C'est en sentant la main de Yelos sur son epaule que la felis sortit de ses penssees. Une agreable chaleur se rependant dans tout son corps la fit secouer la tete.

La chaleur ne la nuisait pas mais elle l'avait surprise, surtout qu'elle ne s'y attendait pas. Un instant celle-ci regarda Yelos comme si elle avait devine que c'etais lui mais pourtant elle se posait encore des questions. L'hybride continua de suivre le jeune homme jusqu'a ce qu'ils furent arrives a une cascade. L'hybride vit le jeune homme s'approcher d'un parois ou il posa ses mains. Son sourire plus qu'etrange ce changea graduellement pour devenir un sourir plus doux et heureux. Yanesa s'approcha de la parois rocheuse et y accrocha ses griffes. Yanesa accrocha ses griffes et se prepara a monter.

Yélos répondit au doux sourire de Yanesa par un charmant sourire, il était content de ne plus pouvoir distinguer ce sourire indéchiffrable, il n'aimait pas ne pas comprendre.

Une main sur la roche froide, Yélos, d'une mimique complice, regardait la jeune félis; toujours aussi ravissante. Puis il secoua un peu la tête pour reprendre ses esprits, il devait monter. Un fin sourire s'afficha ses lèvres vermeilles. Il commença à grimper, aisément, se balançant presque de prises en prises. Si personne ne l'aurait vu ainsi, il ne se serait pas imaginé qu'il aurait pu faire cela. Il avait déjà atteint la moitié de la falaise. Il voyait l'eau fracasser la petite étendue d'eau au pied de la cascade. Il faisait déjà plus sombre, le soleil avait encore agravé sa fuite vers son sommeil de la nuit.

Des rayons illuminaient la cime de la cascade, cette fois-ci, des rayons orangés... Yélos grimpait encore, à une vitesse anormale pour un humain. Cependant, il savait que la jeune félis allait le rattrapper rapidement, évidement, c'était une félis. Enfin, le jeune roi atteingnit le haut de la roche sombre, sa main blanche sur le prise du haut, était déjà éclairait de l'aura chaleureuse du soleil couchant. Yélos se leva, debout sur le haut, son corps laissait derrière lui une ombre incertaine. Son manteau noir, était à présent d'un ton orangé et jaune, presque rosé.

Ce crépuscule était magnifique...

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Yelos commenca a grimper avant elle et celle-ci attendit un peu, pour voir comment il se debrouillerait mais en voyant la faciliter a laquelle il montait celle-ci eu un sourire. Yanesa hocha la tete et commenca a grimper. En deux temps trois mouvement celle-ci fut en haut. La douce lumiere se qui se degageait la sourire de plus belle. C'etais bien plus beau que de regarder du haut d'un arbre! Les rayons du soleil rendait la nature beaucoup plus belle tout comme ils mettaient en valeur les traits de Yelos. Pour la felis, la lumiere du soleil couchant le rendait plus etrange a ses yeux.

Celle-ci s'agenouilla et contempla un instant les traits du jeune homme, en essaya de trouver des choses qu'elle ne comprenait pas. Celle-ci baissa les yeux sur son petit sac et pendant quelque seconde pensa au royaume qu'elle aurait pus gouverner. La jeune femme secoua la tete. Non! Elle n'allait quand meme pas se remettre a penser a totue cette vie d'antant qui lui avait apporter que des problemes. Au moin, depuis qu'elle vivait dans cette foret elle etait heureuse. Libre comme l'air, sans regle cela la comblait mais il y avait un vide et un autre sentiment. Surement le sentiment de n'avoir jamais dit aurevoir a ses parents.

*J'aurais du leur mettre une lettre sur leur chevalet mais non... J'ai ete trop stupide pour sa et aujourd'hui ils sont surement mort.*

Un soupir de tristesse s'echappa bien malgrer-elle. Comment faisait-elle pour penser a tout cela alors qu'elle regardait un couche du soleil? Yanesa reporta son attention sur le soleil qui continuait toujours de descendre. Au moin, celle-ci avait quelque chose de beau a comtempler...

A présent le soleil était en demi-cercle, il arborait une couleur jaunâtre et répandait un halo rosé.

Yélos regarda sa compagne monter jusqu’à la cime et se mettre debout à coté de lui. La félis était toujours aussi belle, l’aura du soleil embellissait ses traits fins et charmants. Ses longs cheveux pâles descendaient toujours aussi bas dans son dos.

Le roi entendit la jeune femme soupirait, cela attisa sa curiosité, mais il fit comme si il n’avait rien entendu. Il lâcha la jeune femme de ses yeux or et regarda le soleil irradiant.

Soudain, il se mit à penser à ses fonctions, qu’il ne devait pas être trop absent, être plus présent pour ses sujets. Il était présent, il les aidait, mais cette charge de royauté l’exaspérait, surtout les honneurs et les mérites. Yélos secoua la tête pour oublier cela et s’allongea sur la roche froide.

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Plonger trop profondement dans ses penser la jeune femme ne remarqua pas que Yelos la regardait dans les yeux et apres tout, quesque cela pouvait faire? La jeune femme sortit de ses penser un peu plus tard et se mordit les levres en se disant qu'elle devrait arreter de penser a ses parents. Pendant quelque seconde celle-ci ferma les yeux mais les rouvrit rapidement pour contempler le soleil qui descendait toujours. Les derniers rayons du soleil se melangeait avec tout ce qui l'entourait et cela donnait a la nature plus de charme.

Yanesa detourna les yeux quelque minute, pour contempler Yelos qui s'etait coucher sur le sol. Yanesa s'approcha du bord en faisant bien attention de ne pas tomber et regarda vers le sol en se disant que ce serait bien de voler. Cette penser la fit sourire. Elle avait un oeuf de dragon et un autre de phenix et un jour ils pourraient lui permettre de monter sur leur dos et de lui faire une promenade.

*Qu'elle est la chose qui me permettra de ne pas trop attendre? Me faire des amis? M'occuper de la nature comme je l'ai toujours fais? Ohhh... J'aurais tant aimer que la vie soit plus facile. La nature est magnifique mais... Mais je ne peux pas rester indefiniment avec elle. De toute facon, les humains me manque.*

la jeune femme frissona, ce n'etais aps a cause du froid mais a cause de ce qu'elle venait de penser. Celle-ci secoua la tete et s'assit en regardant le soleil continuer a descendre:

-Yelos... Es-ce que vous regardez souvent le coucher du soleil? Venez-vous a tout les soirs pour le voir?

L'hybride hesitait un epu car elle ne savait pas quel mot employer et surtout elle etait emerveiller par les yeux de Yelos. Ses yeux d'or baigner dans les couleurs jaune et rose les rendaits plus brillait.

L'astre déclinait encore peu à peu. Son halo perdait peu à peu de son éclat. Ses tons clairs de ce spectacle perdaient de leur beauté, toutes ces couleurs plongeaient peu à peu vers les ténébres.

Le jeune roi regarda Yanesa s'approcher délicatement du bord de la falaise, dont la rivière passait près des deux compagnons. La cascade se fracassait toujours en bas, en un son assez mélodieux. Il la vit regarder vers la bas, cela fit sourire Yélos, un sourire chaleureux. Il ne savait pas pourquoi mais il se sentait bien avec cette jeune femme. Quand il la vit regarder en bas, il pensa qu'elle voulait voler, un rêve que beaucoup d'hommes ont voulut quérir. Yélos avait déjà réussi, il était déjà monté sur des dragons de nombreuses fois. Mais il aurait voulu le faire sur un phoénix, cette belle créature de feu, malheureusement il n'en à jamais vu, si il avait eu cette chance, il pourrait en invoquer grâce à son don, mais vu qu'il ne sait pas vraiment à quoi les phoenix ressemblent...

Le bruit de la cascade fut fendu par l'intervention de la douce voix de Yanesa, Yélos écouta ses questions.

"Oui, je le regarde souvent" dit-il avec un large sourire, "je l'ai déjà regardé à de nombreux endroit, et celui-ci est l'un des merveilleux, certes j'ai déjà vu moins" continua-t-il avec un sourire en coin. "Vous pouvez me tutoyer..." finit-il.

Yélos adorait observer, admirer la Nature, c'était tellement beau. Comme toutes choses, les crépuscules étaient pour Yélos, l'un des plus beaux témoignages de beauté de la Nature. Et cela se voyait dans ses yeux fascinés. Il en avait déjà tellement vu, des paysages, des sentiers et territoires, il avait tellement voyager et voulait encore continuer longtemps.

Ses yeux avaient en leurs prunelles une couleur or puissante, émerveillée. Son sourire embellissait les traits de ses yeux. Et ses mèches saphir hirsutes qui volaient au vent venait égayer un peu le tableau.

Le soleil avait presque fini sa ronde de la journée, vers la fin. La lune se dessinait déjà dans le ciel de son cercle blanc et tendre...

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Il le regardait souventmais celle-ci etait bien le meilleur endroit pour le regarder et c'etais bien vraie. Entendre le chant de la cascade calmait Yanesa et cela lui donnait envie de s'etendre et de s'endormir. Un sourire de bien-etre apparut sur ses levres. Que pouvait-elle rever de mieux? Vivre avec quelqu'un? Peut etre mais ca ne seras pas tout de suite. En plus, Yanesa n'avait jamais ete tres futee en amour. Yelos lui dit aussi de le tutoyer et son sourire s'aggrandit. En guise de reponse celle-ci hocha doucement la tete. L'hybride tourna la tete vers Yelos et en voyant son sourire ainsi que ses yeux celle-ci eu un sourire.

Il etait bien plus beau comme sa avec un sourire et les rayons du soleil qui entourait tout son corps. Celle-ci retourna a la contemplation du soleil presque disparut et eu envie de chercher la lune pour l'admirer un peu. Celle-ci le trouva rapidement et elle en profita pour l'admirer.

-Yelos... Aimez... Aime tu regarder la lune autant que le couche du soleil? Les deux astres sont magnifiques non?
De plus, je te promets que lorsque le phenix sera nee et qu'il sera asser grand je t'emenerai faire un tour d'accord?

L'astre rosé déclinait encore, il était à présent à la lisière de la nuit. Seule une barre jaune perdura un instant pour laisser place à la nuit fraiche qui s'annonçait lentement. La voute céleste était déjà visible, on pouvait y voir quelques étoiles, scintillantes et splendides. La voute céruléenne tombait, la lumière chaleureuse de la voute devenait plus sombre, mais tout aussi accueillante et belle. De plus Yélos put admirer le magnifique sourire de son amie, une étoile parmis les étoiles.

Yélos était toujours alongé sur la roche à présent sombre, ses vêtements sombres le fondaient presque avec cette pierre d'onyx. Cependant, sa peau l'albatre, sa nuque et son visage, contrastaient avec ce noir. Seul ses cheveux de saphir délavés volaient et se confondaient avec le ciel céruléen.

Il écouta la jeune femme d'une oreille sereine.

"Oui, ils ont tout deux leur charme" dit-il toujours ce sourire aux lèvres. " Ce serait avec un grand honneur" continua-t-il, les yeux fascinés comme un enfant.

Le soleil avait maintenant disparut. La lune distribuait déjà son halo blanc et enchanteur dont les étoiles merveilleuses gagnaient la beauté.

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Yanesa le comtempla encore un peu apres qu'il eu repondit et eu un sourire avant de fermer les yeux. La lune etait la devant leur yeux et Yanesa ne put s'empecher de la regarder, de l'admirer. Yanesa s'etendit de tout son long sur la cascade en fermant les yeux de bohneur. Comme on pouvait etre bien en si belle compagnie! A chaque fosi qu'elle se couchait elle se sentait seule mais la il y avait quelqu'un, un ami. La jeune femme entendit son ventre crier famine et celle-ci ouvrit les yeux. La jeune femme n'avait pas beaucoup manger depuis sa rencontre avec Yelos...

L'hybride s'assit et chercha son sac des yeux et elle le trouva tout pres. Celle-ci fouilla dedans pour manger quelque fruits et en proposa a son ami. L'hybride eu un bref baillement et se recoucha sur le dos en fermant les yeux.

La lune était pleine ce soir, son halo blanc se répandait sereinement sur la foret dont les arbres avaient pris la teine blanchâtre et réconfortante.
Un léger vent frais s'était levé et attaqué frénétiquement la la sylve blanche. Les cheveux saphir de Yélos virvoltaient à son gré, toujours hirsutes. Yélos était toujours alongé sur la roche fraiche, sa veste noire était ouverte, dévoilant son torse marmoréen. Son sourire était d'autant plus merveilleux qu'il était souligné par les traits blancs et magnifiques de l'astre de la nuit. Seuls ses yeux d'un or pure contrastaient et brillaient dans la pénombre, d'une telle lueur qu'elles ressemblaient à deux pépites d'or reflétant dans l'eau claire. Le jeune homme se releva, assis, les jambes devant lui, ses bras reposaient sur ses cuisses; ils avaient les yeux rivaient sur la lune.

Soudain, sans se retourner, Yélos entendit le ventre de son amie, d'une convoitise sans pareil. Cela le fit sourire. Finalement, il se retourna pour la regarder avec son sourire toujours aussi heureux, de tels moments étaient les meilleurs au monde. Ses longs cheveux blancs étaient baignés par l'aura lunaire d'un ton magnifique. Le jeune homme regarda Yanesa chercher son sac des yeux puis fouiller dedans. Elle en proposa à son ami, il refusa d'un gentil petit geste de la tête.

Le lieu était toujours bercé par le bruit fin de la cascade ruissellante qui resplendissait sous la lune qui lui donnait un aspect blanc de glace magnifique.

Un grognement animal se fit entendre dans la sylve, un cri de chasse et bestial...

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Lorsque le vent aparut celui-ci souleva doucement les cheveux de Yanesa et cela la fit sourire d'avantage. Sentir le vent dans les cheveux, c'etais une bonne facon de se mettre en harmonie avec la nature. Celle-ci ferma les yeux pour profiter davantage du vent. Un soupir de bonheur se fit attendre masi elle ouvrit surbitement les yeux en entendant le cris de chasse. Celle-ci leva la tete en tentant de chercher d'ou cela venait. La demie elfe se calma en comprenant que ce n'etais qu'un animal qui chassait pour la nourriture a moin que ce soti un homme... Cette penser fit frissonner la jeune femme. Il fallait avouer que les hommes pouvaient etre cruelle parfois.

La jeune femme pencha la tete sur le coter, la tete lourde. Elle commencait a avoir sommeil. Celle-ci finit par s'endormir mais se reveilla quelque minute plus tard.

*Comme je suis fatiguee! Je me demande si je vais tenir bien longtemp. Bah! Au moin je peux admirer le beau coucher du soleil et la lune. J'avoue que je m'endormais quand al lune apparaissait.*

N'osant pas demander a Yelos de partir celle-ci tenta de garder les yeux ouvert masi de temps en temps celle-ci s'omnolait et se reveillait de temps a autres.

Après l'hurlement de chasse, les sens de Yélos furent mis en éveil, les épaules redressaient, la tête relevait, les yeux à l’affut. Il écoutait. A première vue, ce cri provenait d’assez loin, mais une certaine suspicion avait percé les pensées de Yélos.

Le jeune homme avait déjà vu et tuer beaucoup de créatures, et ce cri, il l’avait déjà entendu. D’autant plus qu’un élément était présent pour blâmer ce cri ; la lune était haute ; PLEINE… Son halo se répandait, joyeux, sur la sylve… Mais engendrer un monstre dans les bois blancs. Le monstre que s’apprêtait à combattre Yélos était certainement vorace et véloce. Le cri qu’il avait projetait avait été effrayant. Il avait faim… Il était en chasse, et rien n’était plus dangereux qu’un tel être en chasse… Un loup-garou…

Yélos se releva sans bruit, accroupi, jetant ses yeux d’or tout autour de Yanesa et de lui. Observant les arbres, les mouvements des feuilles sous le vent froid, chaque agitations… La lune était silencieuse, comme guettant la scène avec un malin plaisir. Un nouveau hurlement retentit, cette fois tout prés, c’est sur et certain le monstre avait pris en chasse la Félis et Yélos. Il avait dû sentir leur trace beaucoup plus loin, pour enfin se mettre en tête de les pourchasser. Le jeune homme se dépêcha d’avançait vers son amie à pas sourd, sans bruit sous la brise de la nuit. Elle dormait, du moins, somnolait. Que faire… Il la prit délicatement dans ses bras, mettant sa tête sur son épaule saillante. Puis se releva rapidement, ou aller ? Il devait plutôt se cacher, mais il voulait d’abord mettre la jeune Félis en sureté, c’est ce qu’il se dit. Elle ne méritait pas une bataille avec un lycan. Cette créature était si redoutable et imprévisible… Yélos avança dans l’herbe et s’enfonça dans la foret, il courrait, le cœur serré, se demandant si il aurait le temps de mettre en sureté son amie. Son allure de course était rapide, mais elle était calme et posée, Yanesa pouvait dormir encore en paix… Peut-être pour pas longtemps. Un autre cri avait retentit, beaucoup plus prés. Yélos se dit qu’il devait être arrivé à la cascade, flairant leur trace avec un odorat hors du commun. Soudain Yélos vit une grotte, il courut à l’intérieur. D’un geste de la main, il y envoya une boule de feu, sans bruit, elle traversa la caverne ; vide. Il courut au fond, il y déposa son charmante amie qui somnolait encore, elle balbutiait des mots, mais Yélos ne prit pas le temps de les comprendre. Yélos sortit rapidement de la grotte, d’un pas pressé, le souffle court.

Quand il fut arrivé à la sortir, il était là. Trop tard ! Les yeux emplis d’une convoitise extrême. Il était très grand, imposant, mais pourtant assez mince. Sa fourrure était d’un gris pâle clairvoyant. Ses babines de glace étaient remplies d’écumes sans pareille. Ses larges canines dévoilaient une faim démesurée… On savait ce qu’il allait faire après avoir gagné … Il se tenait debout, vouté, ses yeux noirs dévisageaient Yélos d’un désir et d’une avidité sans égal. La créature restait immobile, les yeux grands ouverts, il avait enfin fini de traquer sa proie ! Soudain, levant la gueule au ciel étoilé, un cri d’horreur tonna dans la foret, résonnant dans la grotte. Yélos se prépara à lutter. Un mot d’ordre ; ne pas se faire mordre ! Car se transformer en loup garou à la prochaine pleine lune n’était pas très jouissif aux yeux de Yélos.

Le lycanthrope ne bougeait pas, il observait l’homme avec une convoitise inouï, les yeux fixes et blancs. On entendait juste la brise et la cascade au loin. La lune était encore là, sourde et immobile. Aucun nuage, les espoirs de Yélos étaient rendus à néant, si seulement un nuage aurait caché la nuit un instant… Puis le loup chargea Yélos avec une vitesse à laquelle l’homme ne s’était pas attendue…

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Yanesa s'etait sentit soulevee par son ami et celui-ci courait. Yanesa n'avait aps entendit le second hurlement du loup-garou et elle se demandait pourquoi ils couraient. Ce n'ai que lorsque le troisieme hurlement retentit qu'elle compris qu'ils etaient en danger. lorsque Yelos la deposa au fond de la grotte celle-ci dit a voix basse que le loup-garou etait tout proche mais Yelos n'avait pas entendue. celle-ci tenta de se lever d'un coup mais elle n'y parvint pas. La demie elfe dut attendre quelque seconde avant de pouvori se lever. Etant pieds nus personne n'entendrait son arriver et celle-ci pourrait aider Yelos.

Le loup-garou poussa un autre hurlement qui glaca le sang de la jeune hybride. Il fallait se depecher! L'hybride courut jusqu'a l'entrer ou elle remarqua que le loup-garou foncait sur Yelos. Pour l'empecher de se faire foncer dessus celle-ci poussa son ami et se mis devant la bete qui la fit tomber a cause du choc. Un grognement de douleur se fit entendre mais celle-ci se leva. Son regard avait changee. Proteger les etres qu'elle aimait c'etais ca la promesse qu'elle avait faite a ses parents et elle allait proteger son ami meme si elle devait devenir une lycantrophe pour le reste de ses jours.

Celle-ci eu un sourire. Ils etaient pres d'une foret et il y avait des arbres partout! Elle pourrait leur demander de l'aider. Celle-ci leva doucement la main et la dirigea brusquement vers le sol qui commenca a trembler. Bientot des lianes sortirent de terre et entoura le loup-garou. Cela ne le retiendrait pas longtemp mais au moin ils gagneraient un peu de temps. Yanesa ferma les yeux, les sens au aguets mais celle-ci les rouvris rapidement, inquiete et leva la tete.

Yélos regardait l'être hideux et spectaculaire qui était dréssé devant lui. Ses prunelles noires et blanches étaient dotées un envie, d'une voracité certaine. Quand il fondit sur Yélos, celui-ci fit pousser par Yanesa. Le jeune homme ne s'y attendait pas, il le croyait en train de dormir. Choqué par cette intervention, ses yeux de son or pur habituel étaient maintenant empreints d'une couleur de rubis en fusion, de lave ardente. *Elle ne doit pas être blessé !!* . Son amie fut projetée par le choc de la bête aux gestes incontrôlables.

Yanesa était debout, devant Yélos, par terre, toujours choqué par cette intervention. Il regarda les lianes monter lentement le long des cuisses velues de l'hideuse créature. S'enroulant et le serrant jusqu'à la taille. Là, le monstre, dans un excès de furieux, arracha de ses crocs et griffes les plantes grippantes Sa fourrure opaline sous la lune lui donnait un aspect de supériorité certain. Les bras sur ses cotés, les yeux fixés sur la jeune femme, il semblait obnubilé par cette chaire de jeune femme. Soudain ses yeux s'ouvrirent en grand, hypnotisé par la Félis. Offrant son cri noir à la lune qui résonna dans la foret, la créature voutée marchait lentement vers Yanesa...

Le roi de l'Ouest, ayant reprit ses esprits, se releva et se mit devant son amie. Debout, près à bondir.

" Ne t'inquiéte pas pour moi, j'ai trés peu de chance d'être infecté par le poison du lycanthrope... Je suis en partie immunisé, laisse moi faire..." murmura-t-il.

Quand le jeune souverain se dressa devant la femme, le loup garou se stoppa net, observant encore. Il n'était pas bête comme il y ressemblait, il réfflechissait. Avant qu'il ne put réfléchir, Yélos, fit s'avança vers lui, d'une roulade, passa sur son flanc, sur son trajet, il traça une ligne de feu sur le sol. Celle-ci entourait maintenant le loup. D'un regard rouge, le roi fixa le cercle qui entourait le loup garou, celui-ci devint en un instant une colonne de flammes ardentes dont le loup était prisonnier. Un gémissement de loup se fit entendre dans la colonne. Soudain une ombre apparu sur le pilier de feu, et le lycan surgit à travers les flammes, bondissant sur Yélos. Sa fourrure à moitié brulée et ses yeux maintenant emplis de haine envers Yélos. Sa peau était un peu calciné et sentait les brulures...

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Yanesa jeta un bref regard derriere elle et remarqua le changement de couleur des yeux de Yelos. Avait-elle fais une gaffe en le poussant ainsi? C'etais bien pour le proteger. Un pur reflexe. Elle n'avait pas envie de perdre une personne chere. C'etais bien, a part ses dragons, le seul humains qu'elle connaissait et en plus il etait son ami. Yanesa poussa un grognement en voyant la bete se defaire de ses liens. Lorsqu'elle vit Yelos se mettre devant elle celle-ci eu un leger sourire qui disparut aussitot. Il la protegeait! C'etais bien la premiere fois que quelqu'un faisait cela. Surprise, la jeune femme recula un peu en avanlant un peu de travers. Si il se faisait blesse celui-ci se transformerait en loup-garou! Par contre, son ami lui dit quelque chose qui la rassura un peu. Il en etait immunise.

-Comment ca immunise? Je croyais qu'on se transformait automatique en loup-garou a la prochaine pleine lune.

Celle-ci se tut en voyant que Yelos venait tout juste de disparaitre. Surement pour aller faire un coup au loup-garou. Pour le distraire celle-ci fit apparaitre de nouvelle lianes mais celle-ci grimperent rapidement et alla encercler la geule du lycan. Celle-ci eclata de rire en voyant le lycan surpris mais il se reprit aussitot et tenta de charger sauf qu'un cercle de feu apparut. L'hybride recula en faisant un bond en arriere. Le lycan, furieux poussa une plainte mais sauta au dessus du cercle pour aller s'attaquer a Yelos. L'hybride secoua brusquement la tete, cela commencait a l'enerver. Elle se dirigea en courant vers la bete et sauta sur son dos ou elle lui mordit le cou tout en lui rentrant les griffes de ses mains et de ses pieds. Pour eviter de se faire mordre celle-ci fit aparaitre des vignes qui fermerent la geule de la bete.

Le temps que l'animal la brise, elle aurait le temps de sauter en bas de son dos. Yanesa eut un frisson et eu une drole d'idee lui passa par la tete. La demie elfe s'avanca sur sa tete ou elle planta ses dents dans les oreilles du loup. La demie elfe tenta de l'aveugler en planta ses griffes dans ses yeux masi fut trop lente et fut projeter par le loup-garou. Comme elle s'y en attendait celle-ci retomba sur ses pieds apres un saut perilleux. A nouveaux, la jeune femme fit apparaitre des vignes masi seulement pour agacer le loup et laisser a Yelos le temps de contre attaquer. Bien sur, la jeune femme savait que c'etais risquer masi elle n'allait aps rester la les bras croiser! Un grognement s'echappa de la bouche de Yanesa tout comme un hurlement de rage sortit de la geule de la bete.

Yélos gardait les yeux rivés sur le monstre qu'il avait en face de lui. Un monstre velu et froid. La lune était toujours haute, claire et rond. Son amie ne devait pas être bléssée dans ce bataille. Y&los écouta la question de Yanesa. Mais celui-ci ne put répondre, la créature l'avait chargé et celui-ci l'esquiva d'un geste véloce et gracieux. Mais l'Elfe sauta sur le dos de la bête, Yélos ne put que regarder avec stupéfaction. Elle s'aggripait au dos velu de la bête, créant de temps en temps de la vigne qui grimpait rapidement à la gueule de la créature lunaire.

Soudain, elle entreprit un saut périlleux, laissant une voie libre à Yélos, celui-ci courru vers la bête.

"Mon pouvoir me permet de mettre en ébulition mon sang et donc d'éliminer le poison" dit-il en même temps qu'en fendant l'air vers le monstre.

Yélos passa dans le dos de la bête fit le tour pour la déboussoler, puis lança une boude de feu à la tête de la créature. Un oeil brulée, la créature hurla de douleur.

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Yanesa esquiva avec grace l'attaque de la creature et se dit:

*Hehe, C'est pratique d'etre aussi agile. Une chance que j'aie toujours aimer jouer dans les arbres. aujourd'hui, cela m'es utile.*

Un sourire amusee flottant sur els levres de Yanesa, celle-ci recula de plusieurs pas et en entendant Yelso aprler, celle-ci l'ecouta. Ainsi donc, grace a son pouvoir, il pouvait faire disparaitre le poison. Peut etre qu'elle le pourrait avec son pouvoir de guerison mais surement qu'il resterait un peu de poison, tres minime. La jeune femme secoua la tete et en voyant un des deux yeux de la creature bruler elle eut un sourire. Il fallait aussi s'attaquer au nez pour que l'animal ne repere pas leur odeur... Celle-ci hocha la tete et recommenca la meme operation que tantot sauf qu'elle prit un peu son temps. Juste pour s'amuser avec la bete. La jeune femme planta ses griffes dans l'oeil du loup-garou en faisant une legere grimace de degout. C'etais gluant masi cela lui donna une idee. L'hybride alla sur la tete de l'animal et tenta d'en mettre dans le nez du loup-garou.

Cela fonctionna mais a moitier. Yanesa prenait un malin plaisir a le mettre en colere. Yanesa essuya le resta sur la fourure de l'animal et sauta sauf que cette fois elle tendit les bras vers la bete et des racines sortit de sous terre. Elles emprisonnerent les pattes de la bete. Beaucoup plus solide, celle-ci resisterent plus longtemps. Une autre idee lui traversa l'esprit. Son sac etait dans le fond et sa couronne y etait. Peut etre qu'elle pourrait l'utiliser. La jeune femme couru vers le fond de la caverne et y ramassasa couronne. elel se precipita vers l'entree ou elle lanca la couronne vers le nez de la bete. Les pics qui formait certain coin de la couronne penetrerent la chair et on entendit une plainte sourde.

La lune irradiait encore l'entrée de la caverne de son hallo d'albatre. Yélos essayait tant bien que mal de résister face à la bête colossale qui était dréssée devant lui. Il courait le long d'un cercle autour du monstre, ce cercle c'était la marcque de la colonne de feu qu'il avait faite précédement et qui n'avait pas du tout affécté la bête.

La jeune Elfe tournoyait autour de la bête de la lune, pendant ce temps-ci. Yélos voulait en finir avec ce monstre, il se fatiguait trop vite pour tenir. Il devait faire une attaque efficace et rapide. Pendant que son amie occupait la bête grise, le souverain de feu s'assit près de l'entrée de la caverne. Il ferma les yeux, se concentra. Après qu'elle instant, il fit le vide dans sa tête, ne pensant plus à rien, ne voyant qu'une flamme dans l'obscurité de ses yeux clos; cette flamme vacillait lentemtent, serein et vive. Soudain, Yélos rouvrit les yeux, ses yeux étaient d'un rouge sang, d'un rouge vacillant et fluide; en fusion. Comme la flamme qui était a présent devant lui, bien réélle, grande et flottante, elle était violente, troublée. Soudain, elle se divisa en deux, puis quatre, huit, et enfin seize. Seize flammes brulaient, volaient en l'air. Virevoltant, elle prennaient formes, des formes de mamifères, quatre pattes... une tête ... C'était seize loups de braise. Leur couleur était un mélange de tons flamboyants et de cendres...

Ils coururent tous sur le monstre de lune à l'ordre de mental de Yélos. Courant sur des couloirs invisibles ou sur terre. Certain marchait ou volait. Ils mordirent tous la créature de leur dents de basalte. Celle-ci lançait une plainte de fureur, il était incapable de contre attaquer face à seize loups rougeoyants. Il essayait de se libérer en vain...

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Tournoyant de plus belle autour de la bete qui commencait a etre enerver celle-ci ne se fatiguait que tres peu. Etant habituer a ce genre d'exercise celle-ci se plaisait bien a bouger dans tout les sens. La jeune femme s'arreta d'un coup en voyant une flamme rouge et en plus cette flamme se divisait pour devenir seize loups de flamme et de cendre. Yanesa recula un peu et alla rejoindre Yelos avec un sourire en coin. Un sourire mi mysterieux mi triomphant. Yanesa s'arreta a coter de lui et fit un leger hochement de tete. Elle avait l'impression que le monstre allait perir sous l'attaque de ses loups mais un pressentiment persistait. N'y avait-il pas d'autre loup-garou? Faudrait-il tous les tuer? Un frisson traversa le corps de la jeune dame. Elle ferma les yeux tres fort en entendant les plaintes du pauvre loup-garou qui etait autrefois un homme ou une femme.

La jeune dame ouvrit les yeux et se dirigea en courant vers le fond de la caverne ou elle se dirigea vers son sac et le prit. Sans plus de facon celle-ci se dirigea vers la sortie et s'eloigna. Jamais elle n'avait pu entendre un animal pousser des plaintes de douleur et ce qui lui faisait mal, c'etais de savoir qu'il allait mourrir. Yanesa grimpa dans un arbre et se recroquevilla tout en s'entourant de sa queue bleu presque aussi noir que la nuit. Yanesa cacha son visage et tenta de ne pas ecouter les dernieres plainte de la bete. Apres quelque minute ce fut le silence mais le coeur de l'hybride etait en piece... Celle-ci tremblait, non pas de peur mais de tristesse. La bete etait morte, on ne pouvait pas guerir ceux qui etait affecter par les loup-garous a part ceux qui peuvent faire disparaitre le poison et peut etre qu'elle aussi pourrait le faire. Surtout qu'elle a un poison de guerison.

Un peu rassurer par ce qu'elle venait de penser, l'hybride leva ses yeux vers la lune. L'hybride avait un regard triste. Cette creature, bien que dangereuse n'etait q'uun animal dont toute la mechanceter en ressortait. La lune le poussait a faire des actes involontaire. Tout le monde avait un coeur au fond. Yanesa baissa a nouveaux les yeux et elle se mit en boule. Ses orreilles vers le bas et sa longue queue toufue entourant une partie de son corps.

Sous le halo lunaire, le jeune homme regardait les seize loups de rubis et d'onyx se disputer le loup-garou qui brulait dans ses cris de douleurs et de souffrances. Yélos eut un sanglot, il avait dû tuer cette bête pour se preserver et préserver son amie. Cette bête avait été un homme, une femme, peut-être un adolescent... C'était eux ou lui. Yélos avait trancher, il était sur qu'il avait fait le bon choix, mais celà le génait encore...

Le jeune homme se releva, d'un geste muet, les loups pourpres disparurent, laissant au milieu, une dépouille calcinée et déchiquetée par des crocs de flammes. Il suivit les pas de son amie, les pas de Yélos étaient inaudibles. Il resta au pied de l'arbre. Il sentait que son amie se sentait aussi mal que lui, il aurait voulu la consoler, mais il se dit qu'il devait la laisser seule. C'est pourquoi il s'assit au pied de l'arbre. Attentif aux moindres bruits suspects.

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Yanesa soupira avec tristesse mais apres un moment elle se releva et grimpa plus haut, assise sur une branche elle regardait les etoiles, les larmes coulant de ses yeux. Non, on ne povuait aps guerir ces creatures, ils n'aviaent pas pu fuir car ils aurait fais un magnifique repas pour la bete. De longue minute s'ecoulere et Yanesa regardait toujours dans le ciel masi apres un moment elle sauta par terre et atterri doucement sur l'herbe. Celle-ci avanca vers Yelos, s'assit pres de lui et le regarda dans les yeux. Elle n'avait pas envie de parler, elle venait aussi de perdre le seul objet qu'elle aimait. La nuit etait maintenant calme et la jeune femme poussa un soupir et se decida enfin a regarder Yelos.

-Ou va t-on?

La jeune femme frissona, tout ce qu'elle voulait en ce moment c'etais d'aller dans un endroit securiter, elle avait un peur qu'ils leur arrivent quelque chose. La jeune femme sentit quelque chose couler sur son bras, elle le regarda et remarqua du sang, celle-ci nettoya la blessure et la referma a l'aide de sa magie:

-Yelos... connais-tu quelqu'un qui pourrait me montrer a enlever les poisons? Je pourrasi mieux me soigner comme ca et j'eviterais de faire peur inutilement...

La nuit profonde s'était refermée sur la forêt, muette; aucun bruit n'émanait de la sylve. Le vent avait disparut, seuls, les ténébres s'étaient emparés du lieu. Yélos ne pensait plus à rien. Les yeux fixés sur le sol. Vide et statuaire.

Soudain, la jeune félis attérit sur l'herbe sombre en un bruit sourd et muet. Preuve de son agilité. Elle vint s'asseoir près de Yélos, le regarda dans les yeux. Le jeune homme fit de même, admirant de nouveau ces prunelles émeraudes et suaves sur ce visage parfait et félin. Il s'entendit à cette question.

"J'aurais bien un endroit..." dit-il avec un léger sourire mausade.

Il pensait à son château bien sûr, cela faisait un moment qu'il n'y était pas retourné. Il devait pourtant, ses fonctions lui obligeaient de s'y plier. Surtout que ses médisants courtisans devaient se demander si il était disparu ou mort. Même si ils savaient très bien que leur Roi était un chef guerrier hors-pair et qu'il svait se débrouiller. Mais au cas ou... Enfin ... Il y avait bien des courtisans fiables et qui apprécier ce roi frivole.

Le jeune homme sentit le frisson de Yanesa. Il remarqua la blessure avec stupefaction, même avec horreur. Elle avait été bléssée par le monstre lycan. Il se releva rapidement. Cela montrait qu'il voulait au plus vite rentrer chez lui, afin de guérir la jeune femme. Il avait de nombreux médecin, bien traditionnel ou magicien, ils devraient pouvoir la guérir. Il était juste question que le poison de se répande pas; et qu'une première transformation ait lieu, car ce serait le signe que c'était perdu. Heureusement, la prochaine lune était dans un mois... 30 jours.

Yélos prit la main de son amie et la releva, ses yeux d'un rouge soutenu montrait bien qu'il s'inquiétait de cette blessure... même guérrie.

"Viens... Je t'emmène... Chez moi" dit-il.

Il allait lui dire qu'il était roi de l'Ouest, mais quelle serait sa réaction... En tout cas il devait la soigner au plus vite.

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Je le regarde doucement, sans dire un mot, attendant patiemment qu'il me reponde. Je le vois en train d'admirer mes yeux et eu un demie-sourire qui peut dire tout comme il peut rien dire. J'hocha docuement la tete lorsqu'il me repondit mais ne fis aucun comemntaire attendant que les choses passe, que le temps et le silence fasse son oeuvre. Soudain, je le vis se lever rapidement et je le regarda en me demanda quesqu'il l'a fais reagir ainsi. M'a-il vu blesser? Oui, je me suis fais blesser par le loup-garou mais cela ne voulait rien dire... Je l'aurais su si je serais infecter a moin que se soit un poison que l'on ne decele pas. Je ferma les yeux, me concentra sur moi et remarqua qu'un venin circulait en moi.

Je leva un peu trop brusquement car je tomba sur Yelos. Je m'excusa et me releva, un peu embarasser. Je m'eloigna un peu de lui apres avoir ramasser mon sac. Ce que j'avais vu dans ses yeux etait de l'inquetude pure et cela m'inquietait d'avantage. La blessure ne m'avais pas trop inquieter car je n'y avais pas songer. A ce moment la j'etais encore attrister par la perte de cet etre humain. Je ferma les yeux et les ouvrit en entendant Yelos. Je tourna la tete vers lui ainsi que mon corps et le regarda un long moment. Il ne fallait pas trainer, je le sais mais je ne peux m'enpecher de le regarder ainsi. Je l'interroge silencieusement mais je laisse rapidement tomber. Je m'avance vers lui, evitant une racine qui aurait pu me faire tomber.

Je le regarde pendant un moment mais je me decide enfin a detourner le regard, je ne sais pas qu'elle direction on va prendre mais une chose est sur, on va se diriger a un endroit ou je pourrai etre soigner. Je pourrai, la-bas, demander si quelqu'un voudrait bien m'enseigner ou si quelqu'un avait vu une personne qui ressemblait a un de mes parents il n'y a pas longtemps. Bientot, je serai dans un endroit frequenter masi cela fait trois ans que je suis isoler dans la foret. Comment reagirait les autres? Reconnaitrait-ils que je suis une princesse qui n'a plus de royaume, qui a fui et failli a sa tache?

Je secoua doucement la tete mais regretta aussitot mon geste. Je posa un main sur mon front et la retira quelque minute plus tard en disant a Yelos que je vais bien.

Yélos regarda la jeune femme sous l'halo lunaire. Toujours aussi belle félis... Yélos l'imagina un instant, transformée en loup assoiffé de sang, haineux et sanguinaire. Il secoua la tête rapidement, il ne pouvait se résoudre à cela. Le souverain fut tiré de ses réfléxions car Yanesa, en se relavant, tomba sur lui. Il n'en fit rien, cela ne le gena même pas dans cette situation. Paradoxalement, il se demanda comment une félis pouvait tomber... Un être si agile... Et d'après ce qu'il savait, le venin de loup-garou n'était pas dégénéréssant...

Il regarda la jeune femme ramaser son sac. Puis il regarda le ciel, voulant savoir ou retrouver son chateau. Tout de suite il reconnu la lune, puis les étoiles... Le chateau devait être au nord-ouest.

Enfin il tourna son regard incendescent vers son amie, hésitant encore à lui révéler sa fonction au sein du territoire.

"Viens, je t'emmene voir des guérisseurs..." dit-il en un murmure dans la pénombre de la nuit placide. "Tu peux courir ?" demanda-t-il.

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Je le vis regarder les etoiles mais ne dis rien, attendant qu'il dise quelque chose. Je n'ai aucun mot a dire, profitant du silence pour tenter mais en vain, de calmer les battement de mon coeur. Soudain, il se mit a parler et je releva la tete en l'ecoutant. J'hocha doucement la tete lrosqu'il me demanda si je pouvais courrir et j'eus un sourire:

-Tu me prend pour qui? J'ai beau etre maladroite, aprfosi masi je peux tres bien courrir malgrer le venin du loup-garou qui circule dans mon corps. D'ailleur, j'ai toujours aimer courrir.

Je m'avanca vers lui, lui offrit un sourire, ajusta mon sac pour ne pas qu'il tombe et attendit qu'il montre par ou aller. Pour m'amuser, je l'imagina en roi en me demandant quel resulta cela ferais mais je laissa tomber asser vite. Je voulu secouer la tete masi j'arreta mon geste avant meme de le faire. Je n'ai surtout pas envie que mon mal de tete reprenne.

Dernière édition par Yélos le Sam 5 Sep 2009 - 11:52, édité 2 fois

Il faissait nuit, pleine nuit, et la pleine lune régnait dans le ciel nocturne.

Le souverain écouta la réplique de son amie, amusé, il s'était douté qu'il n'y aurait eu aucun probleme pour un Félis pour courir. Comme réponse, il lui adressa un large sourire. Puis il se mit à courir, dépassant un arbre, jetant un coup d'oeil derrière lui, Yanesa l'avait suivit avec hâte. La course était rapide, les arbres se succédaient à une vitesse folle et inouï, le souverain de l'Ouest en avait l'habitude... Ses entrainements à répétition dans sa jeunesse n'avait pas servit à rien... Il partait courir tous les matins à 6h sur l'ordre de son père, quand il revenait à 10h, c'était entrainement à mains nues jusqu'à 14h. Là il avait le droit de manger un peu. Reprenant à 14h30 à l'entrainement armé, et en fin de soirée, il s'entrainait à la magie... Son père était un bourreau... Il n'accordait aucune pause...

Quoiqu'il en soit, maintenant il connaissait la foret par coeur, à présent il sautait par dessus un ravin sans difficulté. Au bout d'une demi-heure de course, ils arrivaient à l'orée du bois.

Devant eux se dressaient de grandes plaines, de grands champs blanchis par l'astre nocturne. Au fond du paysage, on pouvait appercevoir la mer... Elle reflettait magnifiquement les rayons lunaires, dont les vagues semblaient s'imprégner avec plaisir. Juste devant l'onde l'albâtre, on pouvait voir un grand château... Au bout d'une demi-heure, ils avaient parcouru les plaines et champs, à présent, ils étaient aux portes du château. C'était une porte à deux batants massifs, ils faisaient bien dix mètres de haut...

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